samedi 19 novembre 2022

SEPT (7) CLES POUR DEVELOPPER LA COMPETENCE

 

La discipline est l’une des compétences qui ont le plus d’impact sur votre réussite personnelle. Un effort discipliné donne souvent une récompense multipliée. Et toute grande réalisation nécessite de la discipline.


Voici 7 points essentiels qui peuvent vous aider à développer cette compétence cruciale :

1.    Comprenez la nature et l’importance de la discipline :

La discipline est l’une des compétences personnelles qui sont le plus impactées par QUI nous sommes. Par notre image interne. L’une des compétences pour lesquelles l’ETRE doit absolument précéder le FAIRE. Cela veut dire que pour être discipliné dans plusieurs domaines il suffit (il faut )  de faire un « Shift » au niveau de notre identité. Sur un autre volet la discipline est un muscle mental qui se développe avec l’exercice. D’où l’importance de faire attention à notre manque de discipline dans les différentes situations et dans les différents domaines de notre vie.

 

2. Entretenez votre motivation :
Quand vous êtes motivé, vous n’avez pas forcement besoin de faire appel à une grande force de discipline. D’où l’intérêt d’entretenir régulièrement votre niveau de motivation. 

« Motivation » vient de la racine du mot « motif ». Et on peut la traduire simplement par « Motif d’action ». Ce qui veut dire que votre plus grand moyen de motivation est de connaître votre « Pourquoi ». Cela alimente le feu et vous permet beaucoup plus de rester concentré.

 

3. Faites de votre environnement un support :

Votre environnement affecte vos choix. Plus que cela ,votre environnement peut être plus fort que votre volonté.

Alors quand vous vous fixez un objectif ou une résolution, assurez-vous que votre environnement est propice à l'autodiscipline et éliminez toutes les sources de tentations qui peuvent saboter vos efforts. 

4. Commencez petit :

Comment mangez-vous un éléphant? Une bouchée à la fois !

Ce qui rend le changement difficile est le fait que notre cerveau est programmé pour revenir à ce qui semble confortable pour lui. Mais, si vous avancez petit à petit, vous pouvez passer à quelque chose de grand avec moins de résistance.

 

5. Créez des habitudes et des rituels :

Une grande partie de ce que nous faisons au quotidien est constituée d’habitudes qui se sont installées depuis des années. Et quand l’habitude est là, il est facile pour nous de passer à l’action et de rester discipliné. Une façon donc très efficace pour booster notre discipline est de créer des habitudes et des rituels. Et pour commencer, vous pouvez associer vos nouveaux rituels à des habitudes qui sont déjà en place.

 

6. Priorité aux priorités :

Votre « stock » de volonté est limité. Ce qui veut dire que si vous commencez votre journée par les tâches qui ne sont pas forcement les plus importantes, vous allez finir par ne pas avoir suffisamment de force ni d’énergie pour attaquer le tâches les plus productives. Pour éviter ce piège, il vaut mieux développer l’habitude de commencer par le plus prioritaire, même si ce n’est pas le plus agréable ni le plus facile.

 

7. Ne brisez pas la chaîne :

 L’une des  techniques les plus puissantes qui peuvent vous aider à développer votre discipline est le tableau de Seinfeld. Si vous voulez vous discipliner sur une action donnée,  cette technique consiste en le fait d’avoir un grand calendrier de toute l'année sur un mur. Et à chaque fois que vous respectez votre engagement, vous mettez un X rouge à la date en question. Une sorte de rappel visuel du travail constant que vous faites. Et la règle à respecter au maximum est : Ne brises pas la chaîne ! .

 

 

Questions :

Quelle est cette clef qui vous parle le plus ?

Quel est le domaine de votre vie qui a besoin plus de la discipline ?

Comment l’abordez-vous ?

Positivement !

Oumar M’BAYE                                                                                                  
 Coach formateur                                                                                                                      Président du Cabinet MOM coaching &Formation (cabinet de formation et d’accompagnement C.F.

mardi 8 novembre 2022

ETUDE DE FAISABILITE Définition

 

Aujourd’hui, je partage  avec vous un document conçu  pour réussir un projet.

1.    L'Étude de faisabilité dans la gestion de projets est une étude qui tend à prouver que le projet est techniquement faisable et économiquement rentable. ...

 


L’Etude de faisabilité d'un projet en 4 étapes

Mener une étude de faisabilité consiste à analyser la viabilité et les implications économiques et organisationnelles d’un projet (création d’entreprise, déploiement d’un nouvel établissement, lancement d’un nouveau produit, etc.). Si l’expression peut effrayer certains, mener une étude de faisabilité n’est pas si compliqué et demande surtout de la rigueur et de la méthode. Mais c’est un excellent point de départ pour élaborer son business plan par exemple.

 

1 – ANALYSEZ LES BESOINS DU PROJET

Avant toute chose, vous devez, pour mener une étude de faisabilité, évaluer les besoins de votre projet. Par exemple, le cas le plus « simple » est la création d’une entreprise (le cas est simple pour cette étape en particulier puisque l’on part de zéro : tout est donc à construire, à moins de créer une entreprise en franchise). Il faut un local, éventuellement du personnel, par conséquent du mobilier, du matériel de bureau, etc. (ne pas oublier la communication et d’autres postes encore ; mais pour ça, n’hésitez pas à consulter nos fiches pratiques sur la création d’entreprise).

Une fois les besoins listés, vous pourrez faire une estimation grossière de l’investissement nécessaire à la réalisation du projet. Cela vous permettra de voir assez rapidement sa faisabilité, avant même d’approfondir la question. Si l’investissement dépasse ce que vous ou votre entreprise peut assurer, il faut faire évoluer le projet, changer de projet ou trouver de nouvelles sources de financement.

2 – ÉTABLISSEZ DES SCÉNARIOS

Si, après une analyse sommaire des besoins, il apparaît que le budget du projet correspond à vos capacités de financement ou à celles de votre entreprise, vous pouvez passer à l’étape de la réalisation de scénarios.

Il s’agit là, exactement comme pour un business plan, de mettre en place des prévisionnels, en particulier financier, fondés sur une sorte de jeu de rôle. C’est en effet lors de cette étape que vous intègrerez non seulement vos stratégies de communication et vos stratégies commerciales, mais c’est aussi là que vous intégrez la prise en compte de l’environnement (l’environnement en termes de marché, s’entend). Vous devrez en effet d’abord établir une matrice SWOT (pour Strengh, Weakness, Opportunities and Threats). En gros, il s’agit d’un tableau à 4 cases réparties en deux colonnes dans lesquelles vous inscrivez les éléments correspondants : 

  • Les forces de votre projet
  • Ses faiblesses
  • Les opportunités en termes de marché
  • Les menaces en termes de marché (elles peuvent concerner la concurrence, la législation, des évolutions technologiques, etc.)

À partir de cette matrice vous pouvez établir des stratégies de communication, de commercialisation, etc. et les mettre à l’épreuve de différentes possibilités.

En d’autres termes, vous faites des prévisions, mois par mois, voire semaine par semaine, pour « visualiser » l’évolution du projet. Typiquement, pour reprendre l’exemple de la création d’entreprise, cela peut être l’évolution du CA au fil des semaines. Veillez à établir au moins 3 scénarios : un optimiste, un neutre et un pessimiste. Idéalement, votre projet doit tenir la route même dans le scénario pessimiste. Si ce n’est pas le cas, reprenez depuis le départ.

3 – SÉLECTIONNEZ LE SCÉNARIO

Il faudra bien se fixer à un moment. Et même si, bien évidemment, vous ne pouvez prédire l’avenir et qu’il y a fort à parier que vos scénarios ne tiendront pas 3 mois face à la réalité, il va bien falloir en choisir un comme fondement de votre stratégie de mise en place de votre projet.

Mais gardez les autres scénarios en tête : ils pourront vous servir à ajuster votre stratégie au fil du temps.

4 – LANCEZ LE PROJET

Il s’agit ni plus ni moins de la concrétisation de ce que vous avez établi sur papier. Mais si vous avez mené avec soin votre étude de faisabilité, cette étape, qui effraie beaucoup de porteurs de projet au début, devient une simple formalité quand on a derrière soi toute une préparation minutieuse et solide.

 

 

lundi 7 novembre 2022

La perception de la société Mauritanienne en matière de la démocratie :

 La notion de la démocratie n’est rien d’autre pour les Mauritaniens qu’une façon de discourir le plus longuement possible. C’est une façon pour eux d’importuner la communauté internationale, de voiler la face cachée et de pouvoir continuer leur fâcherie indéterminée.


La démocratie est un moyen et une nécessité de vivre en harmonie fondée sur la base d’amour d’entre aimer comme des frères. Une importance capitale pour permettre aux fils mauritaniens de semer une possibilité d’évolution sans mépris, sans méfiance et écarter toutes formes d’indifférences.

Les Mauritaniens interprètent  négativement la notion de responsabilité.  Nos dirigeants semblent oublier leurs rôles premiers du fait d’assurer la sécurité, le bien-être de la population. Mais ce qui est  incomprise, ce soi-disant dirigeant de la république ne préoccupent que leurs postes et poches. Une chose inexplicable et inconcevable.

L’idéale serait de mettre en œuvre un plan de sortie de crise, revoir tous les miasmes de désordre et de désorientation  les valeurs structurantes des classes sociales Mauritaniennes dans son ensemble.  L’état Mauritanien doit chercher comment instaurer  un climat de mobilisation unitaire  dans le but d’écarter toute sorte de prisme inégalitaire et retracer une bonne voie pouvant bénéficier l’ensemble de ses fils  Mauritaniens dans sa totalité. Je pense que c’est un seul moyen de fortifier notre nation, vivre harmonieusement en bonne cohésion social et altérer tout jugement négatif, faire renaitre le charisme démocratique.

MOM

 

dimanche 6 novembre 2022

ENGAGEMENT LITTERAIRE

 L'engagement peut être entendu au sens de « conduite » ou au sens d'« acte de décision », selon qu'il désigne un mode d'existence dans et par lequel l'individu est impliqué activement dans le cours du monde, s'éprouve responsable de ce qui arrive, ouvre un avenir à l'action, ou qu'il désigne un acte par lequel l'individu se lie lui-même dans son être futur, à propos soit de certaines démarches à accomplir, soit d'une forme d'activité, soit même de sa propre vie.


L'analyse de l'engagement, en l'un et en l'autre sens, porte d'abord sur les aspects les plus généraux que l'on retrouve dans toutes les formes d'engagement ; à ce niveau, elle reste forcément formelle. Elle étudie ensuite les modalités particulières qui qualifient telle ou telle forme déterminée d'engagement ; elle prend alors une allure concrète.

L'analyse formelle s'attache surtout à élucider deux aspects caractéristiques de l'engagement : son caractère anticipateur et le rapport qu'il établit entre l'infinité d'un pouvoir et la finitude d'un objet déterminé. Elle consistera à rattacher les propriétés de l'engagement à certaines des structures fondamentales de l'être humain, structure de la temporalité d'une part, structure de la liberté d'autre part.

La forme concrète d'engagement qui réalise de la manière la plus radicale les propriétés générales de l'engagement semble bien être celle qui engage deux êtres l'un vis-à-vis de l'autre. 

Parallèlement, il faut souligner que, sous l'influence des avant-gardes et des bouleversements qui ont marqué l'entrée dans le xxe siècle, l'engagement a pris une forme littéraire qui s'est affirmée à partir des années 1930. La dialectique de l'être et du faire, le désir de « changer la vie » ont ainsi conduit de nombreux écrivains – Malraux et Sartre, notamment – à privilégier un art qui serait aussi action, exercice d'une responsabilité revendiquée dans et par le combat politique.

  L'engagement comme conduite

La conduite d'engagement est un type d'attitude qui consiste à assumer activement une situation, un état de choses, une entreprise, une action en cours. Elle s'oppose aux attitudes de retrait, d'indifférence, de non-participation. Elle doit, bien entendu, se traduire par des actes, mais, en tant que conduite, elle ne s'identifie à aucun acte particulier, elle est plutôt un style d'existence, une façon de se rapporter aux événements, aux autres, à soi-même.

On peut distinguer, dans l'engagement-conduite, trois composantes particulièrement importantes : l'implication, la responsabilité, le rapport à l'avenir. Celui qui, en face d'une situation donnée, adopte une attitude d'engagement prend pour ainsi dire cette situation sur lui, se sent et se déclare concerner par elle. Il est porté par le sentiment d'être impliqué dans ce qui se passe, et le comportement qu'il adopte traduit objectivement ce sentiment et le lie de façon effective à la situation qu'il assume. On peut naturellement être pris dans une situation de façon passive, soit qu'on n'en soit pas conscient, soit qu'on se sente impuissant à la modifier, soit qu'on accepte de se laisser modeler par elle sans intervenir. Dans ce cas, l'être de la situation reste extérieur par rapport à l'être de celui qu'elle concerne. L'implication, au contraire, effectue un recouvrement de ces deux êtres : celui qui s'engage inscrit de façon active son être dans la situation et, en même temps, il l'assume dans le mouvement de sa propre existence, lui prêtant pour ainsi dire sa substance et faisant désormais dépendre son sort de ce qui adviendra du destin extérieur qu'il a pris en charge.

Or les situations qui peuvent requérir notre engagement ont toujours une signification proprement humaine ; elles ne sont pas simplement des configurations naturelles, elles mettent en jeu d'autres vies. Cela signifie deux choses : d'une part, qu'une telle situation n'est jamais une sorte de p […]

2.  La littérature engagée

La littérature engagée est un phénomène qui n'appartient pas exclusivement à notre temps. Mais la prise de conscience, à la fin du xixe siècle, de la spécificité de la « littérature », en opposition avec le langage utilitaire, va conduire le siècle suivant à des attitudes extrêmes. Écrivains et critiques oscillent entre une conception de l'œuvre comme fin en soi et un rêve d'efficacité, de prise directe sur le monde. L'œuvre devient, dans le second cas, une arme idéologique tournée vers la vie sociale, politique, intellectuelle ou religieuse du moment. Au xixe siècle, l'écrivain se voit déjà en « mage » ou en témoin privilégié. Mais, défenseur de valeurs humanistes ou esthétiques intemporelles, il tient le monde réel à distance, la gratuité de l'œuvre étant le garant de sa spiritualité et la manifestation de sa rupture avec le temporel. Cette distance au monde s'accentuera avec la génération symboliste et post-symboliste. La recherche par Marcel Proust du salut par l'art est le couronnement de l'attitude de cette génération d'avant-guerre. Mais les intellectuels écrivains de l'entre-deux-guerres et au-delà, jusqu'aux années 1960, ne se contentent plus d'être des clercs au service de l'art ou les défenseurs de valeurs transcendantes. Ils vont au contraire empoigner la réalité et l'actualité à bras-le-corps et intervenir directement par leurs écrits et par leurs actes. Plusieurs facteurs ont entraîné ce renversement d'attitude. 

•  Le culte de l'action 

Les hommes de lettres ont été attirés vers l'activisme. Par suite de circonstances politiques et sociales qui ont fait revivre le souvenir du rôle positif joué par eux dans le passé, durant les époques troublées de notre histoire (en particulier la Révolution française), et qui ont rendu très présents aux esprits certains destins exemplaires, les rêves d'action, avec l'illusion d'efficacité immédiate qu'ils apportent, ont séduit toute une génération. Ce nouvel état d'esprit s'est manifesté dès le début du siècle dans les

L’implication sociale ou politique de l’écrivain, dans ses interventions publiques ou à travers ses livres, est ancienne. Mais à la notion polémique de littérature engagée doit peut-être aujourd’hui se substituer celle, plus complexe et plus souple, d’engagement littéraire.

samedi 5 novembre 2022

LIBEREZ VOTRE ESPRIT DE CE QUI ENTRAVE A LA CREATION!

 Écrire, c’est un peu comme quitter le monde réel pour se promener au gré de l’inspiration. Or, la frontière entre la réalité et la fiction est ténue. Si nous sommes préoccupés par les événements et les soucis de notre quotidien, il sera bien plus difficile de se laisser emporter dans l’imaginaire et de tisser nos histoires. C’est pour cette raison que je vous propose aujourd’hui un outil capable de libérer votre esprit de ce qui peut faire entrave à la création.


Nous écrivons pour partager ce qui nous tient à cœur, une part de nous, de nos rêves. Nous écrivons parce que nous ne pouvons pas nous en empêcher et parce que poser des mots sur le papier libère notre trop plein d’idées, notre potentiel de création. Pour ne pas ressasser sans cesse les grains de sable qui viennent bloquer votre imagination, il est nécessaire de faire la même chose : les écrire ! Pour cela, je vous propose de tenir un journal.

Qu’est-ce qu’un journal intime ?

Tout d’abord, on peut se poser la question de ce que doit être un journal intime ? J’ai longtemps pensé que je devais y écrire en respectant scrupuleusement des critères comme :

Ne pas oublier la date complète

Écrire tous les jours ou au moins de manière régulière

Noter impérativement les événements importants de ma journée

Porter une grande attention à la syntaxe

Bannir les fautes d’orthographe

Faire attention à la mise en page

La liste peut être complétée à loisir, correspondant aux exemples célèbres que nous connaissons (journal d’Anne Frank, etc.).
J’ai compris bien plus tard que mon journal intime gagnait à ne respecter aucune de ces règles, du moins de façon stricte ! Si je vous propose de tenir un journal, ce n’est de loin pas pour vous imposer une contrainte ou un travail supplémentaire, mais pour aider votre esprit à se libérer de ce qui peut faire entrave à la création. Alors, laissez les règles pour vos écrits destinés à un public et suivez votre inspiration !

Qu’écrire dans votre journal intime ?

Voici différents points pour vous aider à tenir votre journal :

Faites-en un outil personnel : j’entends par là, ne laissez personne lire ce que vous y écrivez ! Ceci est très important. Vous devez être complètement libre d’exprimer vos pensées les plus secrètes, vos aspirations, vos coups de colère, libre de dire des choses injustes si vous le désirez, de vous inventer des histoires, etc.

Ne vous imposez pas de thème : votre journal n’a pas pour fonction de servir d’autobiographie. Si vous désirez écrire une autobiographie, rien ne vous empêche de vous y mettre à côté. Comme vous serez votre unique lecteur, notez ce que vous désirez garder en mémoire, ce qui vous préoccupe, sans obligation. Il y a de nombreux événements importants de ma vie que l’on ne retrouverait pas dans les pages de mon journal. Au contraire, certaines choses insignifiantes y figurent, simplement parce que j’écris ce que j’ai envie d’écrire sur le moment.

Ne vous imposez pas de rythme : j’ai pour habitude de mettre la date pour me retrouver en cas de besoin. Ce n’est pas une obligation. Je pense qu’il est bon d’écrire assez fréquemment dans ce journal afin, comme je l’ai dit précédemment d’y déposer les choses qui vous préoccupe et peuvent entraver la création. Cependant, une fois encore, laissez-vous libre. Il m’arrive de ne pas utiliser mon journal pendant plusieurs jours, puis de remplir des dizaines de pages.

Ne vous préoccupez pas de la forme : si vous avez envie d’écrire en cercle, en vague, ou des mots en vrac, n’hésitez pas ! Sautez des pages, revenez en arrière, mélangez, tout vous appartient. Ne pensez pas orthographe, calligraphie, linéarité sauf si vous en avez le désir. Ajoutez des dessins, des photos à loisir. En bref, personnalisez votre journal sans contraintes.

Quel type de journal choisir ?

Laissez-vous guider par votre personnalité quant au choix du support et des outils d’écriture.
Personnellement, j’ai utilisé plusieurs types de cahiers et carnets. Ce qui est important pour moi est le sens que j’attribue au support : j’ai acheté certains journaux sur un coup de cœur, d’autres m’ont été offerts. Parmi ces derniers, certains m’ont fait faire la grimace lorsque je les ai reçus. Ce n’était pas du tout le style que j’aurais choisi. Mais, pour finir, je les ai apprivoisés à cause de leur signification.
J’aime consacrer un stylo spécial à ce carnet, libre à vous de faire de même ou non.
Posez-vous la question : de quel type de journal ai-je envie ? Faut-il qu’il ait un sens ou au contraire qu’il soit totalement neutre ? Et puis, lancez-vous, écrivez, écrivez, écrivez !

Avez-vous déjà un journal intime ?  Écrivez-vous à l’intérieur en suivant des règles précises ? Partagez votre expérience dans les commentaires.

MOM

Partie 3 : L'Éducation et la connaissance

  En fait, il s'agit de compléter et, pour beaucoup, de refaire même notre éducation. Il ne faut pas que cela vous effraie. C'est ...